L'esprit peut-il quitter le corps...

Remarquez que mes dents viennent de l'ile de Paques. Et c'est pas du chocolat heiiiinnnn.

.

conseille peut-etre à tes proches de podcaster leurs conversations, pour que tu puisses y revenir, après quand tu seras de nouveau là.

Enfin, si tu penses que tu risques de rater qqchose.

.

comme quoi la technologie n'est rien sans contenu

Heller a écrit:

comme quoi la technologie n'est rien sans contenu

comme un corps sans âme?

Par rapport à cette confusion entre plonger dedans et se placer en tant qu'observateur, il me semble avoir trouvé une formulation.

Quand tu subis une influence négative, une émotions, une attaque, comme certains disent, quelque chose que tu vois comme négatif, etc... tes actes sont conditionnés par ça. Tu en es esclave, tu n'as plus de possibilité de choix, tu es donc enfermé, pas libre(et donc pas heureux). Le seul choix qu'il te reste à ce moment est de plonger dedans, de devenir ça, de t'identifier à ça, pour avoir de nouveau le choix de ne pas l'être, d'en sortir, de redevenir observateur, de le regarder comme extérieur à toi, de redevenir libre. Démythifier la peur de ça.

Je ne sais pas si c'est très clair...

pour moi, c'est clair,

ce qui est toujours difficile c'est de se remettre en question ....



et ce n'est pas qu'avec le négatif, c'est la même chose avec une émotion positive où tu te sens un peu , beaucoup en ébullition, (ex: quand tu te dis,prends ça dans les dents et que tu jubiles)

bref, mais je pense que Millie, au vue des échanges depuis sa question aura eu les réponses qu'elle attendait puisqu'elle n'est pas revenu ...

oooopsssss, pêtage d'intention, euuh, prétage.

.

Citation :

Y'a juste des choses que je ne comprends pas, d'autres que je n'ai pas envie de vous raconter.

ben oui ,

Citation :

Mais comme tu dis, prêtage d'intention.

ben non

ç'pas graff

Invisible a écrit:

Quand tu subis une influence négative, une émotions, une attaque, comme certains disent, quelque chose que tu vois comme négatif, etc... tes actes sont conditionnés par ça. Tu en es esclave, tu n'as plus de possibilité de choix, tu es donc enfermé, pas libre(et donc pas heureux). Le seul choix qu'il te reste à ce moment est de plonger dedans, de devenir ça, de t'identifier à ça, pour avoir de nouveau le choix de ne pas l'être, d'en sortir, de redevenir observateur, de le regarder comme extérieur à toi, de redevenir libre. Démythifier la peur de ça.

Je ne sais pas si c'est très clair...

Très clair et très parlant pour moi. En effet tu t'enfonces en toi, tu t'enfermes presque, en fuyant. La clé étant alors, comme tu le dis, de remonter et de se remettre à niveau, en face de l'épreuve, de réfléchir, valider les possibes, et agir.

Heller a écrit:

Très clair et très parlant pour moi. En effet tu t'enfonces en toi, tu t'enfermes presque, en fuyant. La clé étant alors, comme tu le dis, de remonter et de se remettre à niveau, en face de l'épreuve, de réfléchir, valider les possibes, et agir.

oui, mais tu peux faire mieux en faisant plus simple. une idée ?

Invisible a écrit:

Quand tu subis une influence négative, une émotions, une attaque, comme certains disent, quelque chose que tu vois comme négatif, etc... tes actes sont conditionnés par ça. Tu en es esclave

Mais tout le monde se prend des coups de pied au cul, dans la vie!
Souvent, l'effet n'est pas négatif mais de provoquer une réaction (saine).
Enfin, ça dépend de comment on CHOISIT de le prendre.

C'est humain de voir le mal, même là où il n'est pas.
Toujours beaucoup plus facile et plus commode.
La parano ou le besoin de se plaindre trouvent toujours de bonnes explications à tout, et comme on préfère une mauvaise explication plutôt que de ne pas comprendre et de devoir chercher plus loin... (ça, ça fatigue même un HP)
Tout ce qu'on veut, c'est adhérer à quelque chose et s'asseoir sur quelques bonnes certitudes (pas seul, c'est encore mieux).

Citation :

Démythifier la peur de ça.

Oui, la trouille, toujours la trouille.
Dès qu'on cherche à comprendre un truc qui nous échappe, on part à l'aventure.
Là où avec la parano, on a toute de suite les réponses toutes faites.

ben wi, ça s'appelle pas vivre ? ... et pas seulement semblant de le faire.

Citation :

Mais tout le monde se prend des coups de pied au cul, dans la vie!
Souvent, l'effet n'est pas négatif mais de provoquer une réaction (saine).
Enfin, ça dépend de comment on CHOISIT de le prendre.

Oui, et ce qui me semble important c'est: par quel processus on peut retrouver une possibilité de choix.

Invisible a écrit:

Oui, et ce qui me semble important c'est: par quel processus on peut retrouver une possibilité de choix.

La possibilité de choisir existe toujours!
Après, on veut avoir le choix ou pas.

Mais avoir le choix est une éventualité profondément terrorisante...
Commencer par gérer la trouille qu'on a aux tripes.
Après, on est moins focalisé sur la trouille, et on s'aperçoit que le monde est vaste.

le choix, ça n'existe pas, tu avances avec le bâton ou la carotte. ça s'appelle l'évolution ...

dans le pire des cas, tu met ton corps dans une telle souffrance que la souffrance est et physique et morale,

dans le meilleur des cas, tu comprends que la vie est toujours vers l'inconnu, et là, tu cherches à voir pourquoi t'as pris le coup de pied au cul, et le ou les responsables, tu t'en tapes, le coup de pied au cul va te permettre de mettre quelque chose en lumière. avec cette conscience, ta méthode est excellente, donc, tu souffres, mais ça dure pas, et le moment où tu as trouvé la racine, hop, poff poff, ça se dissout et tu te casses plus jamais les dents sur le me^me problème

là où j'ai du mal, c'est voir tourner les gens avec les mêmes problèmes depuis des années, en se disant que c'est la faute à.... plutôt que de se dire, si je le vis ainsi, c'est mon problème et pas l'autre le problème, lui , il n'en a été que le révélateur.

et même là, je sais que je pisse dans un violon .

donc, je continue par rapport à ton message.... pluton ..

quand tu dis, tu as le choix, oui, tu as le choix a ton niveau,

celui de souffrir longtemps moralement et physiquement, ou que la souffrance soit éphémère, parce que tu auras trouvé la racine.

Citation :

là où j'ai du mal, c'est voir tourner les gens avec les mêmes problèmes depuis des années, en se disant que c'est la faute à.... plutôt que de se dire, si je le vis ainsi, c'est mon problème et pas l'autre le problème, lui , il n'en a été que le révélateur.

et même là, je sais que je pisse dans un violon .

C'est la faute à si j'en suis là.
Après moi j'ai greffé ma propre merde là dessus, je l'assume.
N'empêche ya des trucs qu'on a pas choisi

loen a écrit:

Citation :

là où j'ai du mal, c'est voir tourner les gens avec les mêmes problèmes depuis des années, en se disant que c'est la faute à.... plutôt que de se dire, si je le vis ainsi, c'est mon problème et pas l'autre le problème, lui , il n'en a été que le révélateur.

et même là, je sais que je pisse dans un violon .

C'est la faute à si j'en suis là.
Après moi j'ai greffé ma propre merde là dessus, je l'assume.
N'empêche ya des trucs qu'on a pas choisi

ben moi, je ne peux pas l'affirmer ou l'infirmer, les certitudes, ça n'existe pas chez moi .

Ming Men a écrit:

quand tu dis, tu as le choix, oui, tu as le choix a ton niveau,

Oui évidemment, à mon niveau.
On a le choix, non pas des événements qui nous arrivent, mais de la manière dont nous les recevons et dont nous évoluons par rapport à eux: positive/évolutive/constructive ou négative/problématique/égrotante.

Oui Loen, y'a des trucs que t'as probablement pas choisis. Et je te trouve très courageuse pour les assumer.

Chuis pas courageuse, c'est juste l'histoire de ma vie, soit je fais avec soit jme flingue.
Donc j'ai le choix!

Ben vi.
Même un suicidaire, c'est encore quelqu'un qui croit qu'il n'a pas le choix.

siiii, la seule certitude que j'ai, c'est que tout est toujours à sa juste place..... et qu'il n' ya jamais d'erreur, ça fait donc 2 ...tu vois à quel point je n'ai aucune certitude,
me^me ma certitude de ne pas en avoir , je viens de la gruger moi me^me

et m'en a fallu de la souffrance pour arriver à l'entrevoir. et cette souffrance, c'était ma plus grande force.

tu saisis Loen le message ?

Voui.

pas sur moi, que je te suive Porcemingdynasty.
J'ai l'impression que tu donnes, puis que tu t'en redns compte et que tu reprends en mettant une vanne à la place.

La programmation/l'éducation, ou bien l'absence d'éducation constructive font que nous avons parfois l'impression de ne pas avoir la capacité du choix.
Un concept de soi anéanti, un self noir, une série d'échecs peuvent te rendre aphone et atone.

PAr rapport au suicidaire, je dirais plutot qu'il n'a plus d'autre choix que la mort, k'espoir est exclus, les options se sont rétrécies à ce seul choix, choisir d'arreter de vivre.