Quand CDI

janus a écrit:

ça y est, j'ai lu l'histoire du K. Très chouette, surtout la fin. Seul celui qu voit peut voir plus et autrement.

... et aussi qu'on passer sa vie à fuir quelquechose de bon parce-qu'on en avait peur..... ........

...et oui je trouve aussi que D. Buzzatti écrit bien....

janus a écrit:

Vous savez ce qu'on dit? "Quand un Saint arrive au ciel, on retire l'échelle."

On doit trouver son propre chemin et ce qui convient à l'un ne convient pas forcément à l'autre. C'est pour ça que l'échelle est retirée.

Aussi, ce que j'en ai eu, je ne peux le partager car cela m'est propre.

...MMmmm moyennement d'accord, OK pour l'échelle mais qd on est arrivé en haut on peut tjs jeter quelques
barreaux...(des bas-rôts.... ....)...si rien n'est jamais reproductible d'un être à l'autre je crois qu il existe quand même des "nocivités" et "bienfaits" relativement universels et transposables...mais bon ce que j'en dis.... .........

Phoenix a écrit:

janus a écrit:

ça y est, j'ai lu l'histoire du K. Très chouette, surtout la fin. Seul celui qu voit peut voir plus et autrement.

... et aussi qu'on passer sa vie à fuir quelquechose de bon parce-qu'on en avait peur..... ........

...et oui je trouve aussi que D. Buzzatti écrit bien....

wi wi wi, le tout, c'est de trouver ce que l'on fuit et de se poser la question qui lance tout un processus de dégagement de ce qui ne nous appartient pas, processus de libération de l'être afin qu'il soit.

Phoenix a écrit:

... et aussi qu'on passer sa vie à fuir quelquechose de bon parce-qu'on en avait peur..... ........

Oui, je ne voulais pas le dire.

Le résumé de ce texte est le suivant (je ne dévoilerais pas la fin, c'est juste pour mettre l'eau à la bouche)

Le K est une nouvelle fantastique de Dino Buzzati, faisant partie du recueil du même nom (Le K).

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Citation :

Le K raconte l'histoire d'un garçon, Stefano, poursuivi par un monstre marin aux allures de squale géant, appelé « le K ». Il le fuit toute sa vie en restant loin des côtes d'abord. Mais ensuite l'appel de la mer et du K se font ressentir et il devient un marin qui parcourt le monde sur son bateau, voyant le K comme une malédiction. Alors qu'il est sur le point de mourir de vieillesse, il décide d'aller à la rencontre de son destin en affrontant le K ; ce dernier est aussi exténué que lui et lui transmet enfin le message qui lui était destiné. Il était en fait chargé de lui remettre une perle magique capable de lui assurer réussite, richesse et bonheur toute sa vie durant...

Cet homme a refusé son destin jusqu'au crépuscule de sa vie, refusant en fait la promesse de bonheur éternel qui lui était destinée...

L'auteur utilise le registre pathétique avec précision, ne voulant pas nous faire connaitre la chute du récit trop tôt.